jeudi 11 octobre 2007

Micromacrocaomos

Photo: "sans titre" Ze Mae



Hola, Kaixo , Iaorana , Zdravo en castillan, basque , tahitien et croate ....
Yo tambien , la deconnexion reconnectative avec des plis de mes amis comme amuse gueule , mise en bouche ...
gouter, lapper , sentir , vibrer ,...........la vie quoi ...
comme ici a donosti , a ciudad a revetu ses habits d automne , hier encore l'été moite , les corps dénudés, le festival du ciné battant son plein , je surfe sur la vague du nuancier de gris , du crachin revigorant qui n'atteint pas mon moral tout au mieux qui fige un peu plus la verdoyante peinture tout autour.
Avec grand plaisir pour te faire suivre tout bientôt quelques frasques du langage de ma planete ,
ce lien est un ravissement pour mes cellules esthétique, aquariumique, les mots qui se lisent ceux qui se sentent et les silences qui en disent long, un semillant lien oui, oui pour sur, je vais choisir avec soin les âmes avec qui j'ai envie de le partager , fais moi confiance mon ami.
Vibrantes ailes de papillon Lyre .. grattant la mandoline de domingo Boenechea de Lima a Guernica en passant par Mundaka et la contrée des rêves non anoblis,
nul besoin de blason , nulle possibilité pour « la blasitude »
le festival du film de donostia a commencé voila deux jours , et voila deux jours que je ne suis pas entrée encore dans une de ces salles obscures où se peignent les creations des autres ...
rejouissante calle où les bruits s'agglutinent transformant en sons , en paroles , rires et altercations basques , j'aime cette creation de l instant~tané ... sur le cuir de la cuidad , j'irai faire du toboggan ... imagine toi un peu ici a donostia ( san sebastian pour les espagnols!) il est un lieu qui surplombe la baie ....Ancien parc d'attractions battu par le temps , j'y suis allée hier , c'est bien fou une fête forraine qui ne vit plus au rythme des rires, de Barbe à papa, ce fut comme prendre une machine a remonter le temps, ô le temps se serait figé , c'est te dire combien j'ai aime ce voyage , j'vais blogger tout cela en espérant ne pas ecorcher, en rien, les sensations qui vibrent; encore non, au fond de moi , plutôt là tout près , proche du coeur.

Ze Maë

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